Vignette Youtube de l'interview de Jean-François Faure par Félix Baron sur la chaîne Premier Million

Interview de Jean-François Faure par Premier Million

Résumé de la vidéo

Jean-François Faure, PDG de Veracash et AuOFFRE, est interviewé par Félix Baron, créateur de la chaîne Youtube « Premier Million » et de la « Lettre pour les investisseurs indépendants ».

Jean-François explique pourquoi il s’est lui-même intéressé à l’or il y a 15 ans et a fondé AuCOFFRE en 2009. Il évoque également les stratégies d’achat d’or physique telles que le DCA (Dollar Cost Averaging) et les pièges à éviter, acheter de l’or lorsque les médias en parlent ou investir sous le coup de ses émotions.


Visuel de couverture du cahier de vacances Veracash niveau Expert

Cahier de vacances de Veracash : niveau expert

Visuel de couverture du cahier de vacances Veracash niveau Expert

Le sommet est en vue ! La période de vacances se termine et voici l’ultime épreuve : le niveau expert de l’Université d’été Veracash !

Voici les thématiques abordées dans ce test ultime :

  • Comment reconnaître la qualité d’une pièce ou d’un objet en or ?
  • Quels sont les placements de très long terme les plus intéressants ?
  • Le retour à l’étalon-or est-il possible ?
  • Louer ou acheter : un choix parfois difficile.

Qualité des pièces d’or et des bijoux : connaître les poinçons et les dénominations

L’or est sans doute le métal précieux qui bénéficie le plus de classifications. Selon l’usage du métal, parfois même son pays d’origine ou de commercialisation, de nombreuses dénominations et signes permettent de s’assurer de sa qualité. Si la recherche d’un poinçon sur un bijou est plutôt habituelle, les termes qui désignent les différentes qualités d’une pièce d’or ou d’un lingot sont moins connus. Et pourtant, pour les collectionneurs et les investisseurs, c’est un des éléments du prix.

Les poinçons : le certificat de garantie des métaux précieux

Il existe deux types de poinçons.

  • Celui qui permet de connaître l’origine du fondeur, de l’importateur ou du graveur. C’est le poinçon de maître. Mais il n’est pas considéré comme une garantie en France, puisque l’État français a le monopole du contrôle de la qualité des métaux précieux : or, argent, platine.
  • Le symbole qui permet de certifier la pureté de l’or de l’objet. Les professionnels qui peuvent utiliser ces poinçons sont habilités par les services de l’État (douanes notamment). Et il existe des bureaux de garantie, qui dépendent de l’administration des monnaies et médailles, qui peuvent aussi certifier la qualité des métaux précieux.

Bon à savoir : Il faut être prudent avec la qualité de l’or à l’étranger, car les poinçons sont moins contrôlés. Normalement, de l’or importé en France doit être marqué par un poinçon. Pour les bijoux anciens (avant 1990), c’est un charançon dans un ovale qui est apposé par le bureau de garantie. Insecte moche abandonné ensuite pour des poinçons plus habituels.

Qualité de l’or : les différents poinçons

Connaître la pureté de l’or est important, notamment pour établir des prix. Jusqu’en 1995, les différents poinçons correspondaient aux nombres de carats. Depuis, le titre est exprimé en millième. Mais les symboles n’ont pas changé : un bestiaire à connaître par cœur.

Les poinçons de l’or

  1. L’hippocampe : 999 ‰ ou 24 carats soit de l’or pur.
  2. La tête d’aigle : 750 ‰ ou 18 carats (à noter que si un 1 est présent sur le poinçon, il s’agit d’un or 22 carats (donc plus pur).
  3. La coquille St-Jacques : 585 ‰ ou 14 carats.

Puis viennent : le trèfle ( 375 ‰ ou 9 carats) et le nombre 333 (333 ‰ ou 8 carats).

Différents poinçons de l'or
Extrait de la garantie des métaux précieux en France - Service des douanes

L’argent et le platine ont aussi des poinçons

Sur un objet en argent, on peut trouver une amphore (de l’argent pur) ou très souvent Minerve.  Ce dessin est utilisé pour plusieurs titres d’argent de 925 ‰ à 800 ‰ avec des chiffres pour les différencier.

Pour le platine pur 999 ‰, on poinçonne un manchot empereur (ça ressemble à un pingouin pour les non spécialistes) et, pour les autres titres jusqu’à 850 ‰, des têtes de chien.

La classification des pièces d’or

Si la connaissance du titre de l’or d’une pièce est importante, un autre élément intervient dans sa classification : sa qualité. Ainsi, pour les monnaies, il faut prendre en compte deux informations : la pureté de l’or et l’état de l’objet. Ces deux éléments (entre autres) sont pris en compte pour définir un prix.

Comment définir l’état d’une pièce d’or ?

Il ne s’agit absolument pas d’une garantie « officielle » mais bien de l’observation du vendeur ou du tiers de confiance qui propose la pièce. Aux États-Unis, une sorte de guide a été mis en place pour définir l’état d’une pièce, avec notamment le décompte du nombre de rayures ou de chocs sur l’objet. Ce n’est pas le cas en France même si, dans les faits, on arrive au même résultat.

Classement de la qualité des pièces en France

  • B ou beau : c’est la plus mauvaise qualité.
  • TB ou très beau : la pièce est usée parce qu’elle a été utilisée. Il s’agit de pièces anciennes.
  • TTB ou très très beau : c’est un peu mieux.
  • SUP ou superbe : on trouve quelques rayures mais la pièce est en bon état malgré son usage.
  • SPL ou splendide : cette pièce ancienne comme un Napoléon a été bien conservée et n’a sans doute jamais été utilisée pour commercer.
  • FDC ou Fleur de coin : la pièce est dans un état parfait. En général, elle a été conservée dans un étui, quasiment jamais manipulée. Les pièces contemporaines d’investissement, en or pur, sont en général classées FDC.
  • PROOF ou BELLE ÉPREUVE : une pièce neuve mais avec des flans brunis marqués au laser par exemple. La qualité de l’or n’est pas altérée.
  • GOOD DELIVERY : attention, il y a un piège ! Cette détermination ne concerne pas les pièces mais les lingots d’or pur qui sont labellisés LBMA (London Bullion Market Association).

À lire également : Comment reconnaitre du vrai Or ?

Tout ce qui brille n’est pas or, et en ce qui concerne les pièces et bijoux, c’est un proverbe à prendre au pied de la lettre.

Lire l'article

Bien choisir des investissements de très long terme

Pour constituer un patrimoine ou une épargne, plusieurs types d’investissements sont disponibles. En fonction de son profil (son âge, sa capacité d’épargne, son niveau attendu de retraite, etc.), un investisseur choisit des investissements selon leurs niveaux de liquidité, de rentabilité, de risque. C’est ainsi que, même pour les investissements dits du temps longs, des différences peuvent exister.

La pierre : reine déchue du temps long ?

Quand on parle de constitution d’un patrimoine en France, la « pierre » arrive souvent en premier. Réputé sûr, toujours en augmentation ou au pire stable sur des décennies, l’immobilier est un peu l’investissement préféré des Français. Mais depuis l’augmentation des taux d’intérêt, la hausse des prix qui semblait sans limite a été arrêtée. Alors le placement « solide comme la pierre » commence à s’effriter, d’autant que l’augmentation de la durée des cycles de vente réduit considérablement la liquidité de l’investissement. Des mois qui s’ajoutent aux « 3 mois administratifs » de toute transaction immobilière.

Les obligations d’État victimes de la fluctuation des taux

Cela a été un véritable coup de tonnerre. Des banques américaines ont fait faillite parce qu’elles détenaient des bons du Trésor américain. Le placement pourtant le plus sûr de la planète ! Les États-Unis, c’est le meilleur créancier au monde. Même avec une dette abyssale, il leur suffit de créer des dollars pour tenir leurs engagements. Alors que s’est-il passé ? Eh bien, les bons du Trésor américains d’avant 2022 ont été largement dépréciés par les mêmes bons, mais millésime 2023/2024. En effet, qui va acheter du papier qui rapporte moins de 1 % (taux proches de zéro), alors que le même rapporte 4 % depuis l’augmentation des taux d’intérêt ? C’est comme ça qu’une fortune placée dans les obligations les moins risquées du monde fond comme neige au soleil.

Les plans d’épargne retraite : fonds de pension à la française

Les fonds de pension ont tellement mauvaise presse que personne n’ose utiliser l’expression. Pourtant, il n’y a pas de différence entre un fonds américain, qui gère l’épargne des pompiers et policiers américains, et un produit d’épargne retraite pour les mêmes professionnels en France. Et leur mode de gestion est assez proche. Donc si les fonds de pension américains ont des choses à se reprocher, cela peut aussi être le cas des opérateurs français.

L’or et l’argent d’investissement : la réserve de valeur depuis des millénaires

Souvent par méconnaissance, l’or n’est pas un produit « naturel » pour les investisseurs. Et pourtant, il s’agit quand même une réserve de valeur culturelle depuis des siècles ! Ce qui dessert l’or dans l’esprit des épargnants, c’est qu’il ne produit pas d’intérêts, de loyers ou de dividendes. Mais en restant sur l’idée du temps long, il faut retenir que la valeur de l’or ne baisse pas. Si son prix venait à décroitre (cela arrive de temps en temps), c’est que la monnaie de référence se renforce et que tous les prix baissent. Sinon, et on le voit quasiment depuis la fin de l’étalon-or et de la parité avec le dollar (1971), l’or ne fait qu’augmenter. Sur le long terme, un patrimoine en or progresse. Enfin, avec le numérique, l’or est liquide. Veracash prouve l’usage quotidien de l’or via une carte de paiement.

Ratio entre l'achat d'une voiture US avec de l'or sur un siècle

Monnaie : un retour de l’étalon-or est-il possible ?

Dans un monde où la « confiance » dans les monnaies émises par les pays s’érode, le retour à l’étalon-or est très souvent évoqué. L’or comme support de garantie et de stabilité monétaire apparaît comme une panacée. D’ailleurs, de nombreuses banques centrales souhaitent réduire leur dépendance au dollar et renforcent leurs stocks d’or. Malheureusement, la réalité monétaire mondiale interdit toute possibilité d’un retour à l’étalon-or.

Pourquoi l’étalon-or disparaît-il en 1971 ?

Petit retour en arrière dans notre histoire récente, dans les années 1960. À l’époque, les monnaies sont accrochées au dollar, lui-même lié à l’or à 35 dollars l’once. Ce sont les accords de Bretton Woods qui aménagent le Gold Standard Act de 1900.

Le principe de Bretton Woods est simple : la conversion des dollars en or à 35 dollars l’once est automatique. Tout allait pour le mieux quand, au milieu des années 1960, De Gaulle commence à trouver que ce système favorise très fortement les Américains. Ceux-ci peuvent émettre tous les dollars qu’ils veulent pour accompagner leur développement, sans aucun contrôle de l’équivalence en or de cette monnaie dette. De Gaulle lance donc une action de conversion en or des dollars détenus par la France. Les Américains n’apprécient pas, et surnomment alors le président français Gold Finger. En 1971, Londres emboite le pas à Paris. Le 15 août 1971, Nixon annonce de manière totalement unilatérale la fin des accords de Bretton Woods. Le lien entre le dollar et l’or est rompu. Le prix de l’or est libre !

Dette et étalon-or : la cohabitation impossible

C’est dans cet événement du 15 août 1971 qu’on trouve le principal frein au retour à l’étalon-or. En effet, ce système ne fonctionne que dans une situation monétaire saine. Le principe d’un référent physique, l’or dans ce cas mais cela pourrait être autre chose de tangible, ne fonctionne que si la balance entre la garantie (l’or détenu) et la monnaie émise est équilibrée. Avec des pays qui ont plusieurs milliers de milliards d’euros ou de dollars de dette, il faudrait rapatrier l’équivalent en valeur en or ! Deux solutions se présentent : trouver de l’or en masse ou augmenter considérablement le prix de l’once. Certains ont fait des calculs entre la dette des USA et le stock d’or de Fort Knox : il faudrait une once à 37 000 dollars pour équilibrer les comptes !

Monnaie basée sur l’or : la tentative avortée des BRICS

Ce sont les Russes qui ont évoqué en premier l’idée d’une monnaie basée sur l’or pour cette alliance de pays qui souhaite se dédollariser. Comme le pays a de gros stocks d’or et une réserve minière encore plus importante, cela aurait été assez favorable aux finances de Poutine. Mais dans l’alliance BRICS aujourd’hui élargie, certains pays sont pauvres en or. Une monnaie commune étalon-or serait impossible à tenir pour ces derniers.

Louer ou acheter : que choisir ?

La nouvelle génération sera-t-elle la première à ne plus rien posséder ? Ne rien avoir en propre mais consommer toujours plus. La location devient une pratique volontaire ou masquée de plus en plus fréquente.

La location cachée dans les abonnements

C’est la téléphonie qui a démocratisé l’achat caché et la location. En effet, en prenant un forfait mobile, un smartphone est souvent fourni pour quelques dizaines d’euros. Mais ce n’est pas son prix réel neuf. Le reste du coût est intégré dans le forfait et son engagement (2 ans par exemple). Une sorte de crédit qui ne dit pas son nom. Avec l’obsolescence des appareils et des systèmes d’exploitation, le changement correspond, à quelques mois près, à la durée de l’engagement. C’est donc une location permanente. À la fin, l’objet ne vaut plus rien.

La même démonstration peut être faite avec une voiture en location longue durée ou en leasing.

Le logement principal : le dernier Mohican de la propriété ?

En France, être propriétaire de son toit, de ses murs, est un objectif. Avec des prix très élevés et des taux d’intérêt en hausse, une capacité d’épargne importante est mobilisée.

D’accord, mais les prix augmentent donc la valeur augmente ! C’est vrai. Mais si vous arrivez à vendre cher, il est très probable que vous allez aussi payer cher le bien suivant.

Finalement, n’est-il pas acceptable de conserver son épargne en louant son logement principal ? Ou, mieux, de vendre cher son logement principal pour en louer un et conserver son épargne ? Les investisseurs les plus indépendants pourront ainsi choisir où placer leur patrimoine dans différents produits de long terme, mais aussi disposer d’un pouvoir d’achat important. Alors, convaincu par la location ? Y compris de votre logement principal ?

Testez vos connaissances !

Laissez-vous guider par notre questionnaire. Avez-vous bien lu nos différentes thématiques du jour ? On va le savoir tout de suite !


Couloir dans des chambres fortes en Suisse

Visite exclusive de nos coffres-forts : 7 tonnes d'or sous haute sécurité

L’or existe-t-il vraiment dans les coffres-forts ? Cette question est légitime si vous souhaitez acheter de l’or sur une plateforme en ligne telle que VeraCash.

Que vous soyez un?e client?e convaincu?e ou que vous envisagiez d’investir sans être réellement sûr, nous pensons qu’après plus de 10 ans d’existence, il était temps d’ouvrir les portes de nos coffres-forts. Et vous trouverez en bonus une vidéo de nos audits 2023… puisque des images valent 1000 mots.

Couloir dans des chambres fortes en Suisse

Nous sommes le 12 décembre 2023, il pleut à Genève. L’équipe logistique d’AuCOFFRE, les trois auditeurs de l’entreprise “ALS”, Jean-François (notre PDG), Ignacio (notre Directeur Général Délégué) et moi-même avons rendez-vous avec deux clients adhérents de l’Association des Membres Utilisateurs d’AuCOFFRE ou “AMUAC”. Après avoir passé le contrôle d’identité, nous nous dirigeons vers les salles des coffres en zone “hors-douane”. Nous passons dans un sas, puis un deuxième, avant d’arriver à une porte blindée comme celles que l’on voit dans les films. Les procédures sont claires et rigoureuses, tout est encadré. Nous serons bloqués” jusqu’à l’heure du déjeuner, pas de possibilité de sortir.

Bien sûr, nous ne donnerons pas de détails sur les dispositifs de sécurité mis en place dans nos salles des coffres ni dans cet article ni dans la vidéo.

Un peu de contexte sur les coffres-forts 

Depuis 2009, AuCOFFRE (maison mère de VeraCash) loue et gère ses propres chambres fortes à Genève, dans l’un des endroits les plus sécurisés d’Europe et du monde. Et récemment, l’entreprise a doublé la surface de stockage, afin d’anticiper la croissance de l’ensemble de l’activité du groupe.

Si on rentre un peu dans le détail, AuCOFFRE gère aujourd’hui six chambres fortes en zone “hors douane”, et aussi six chambres en zone “sous-douane”, réservées à l’argent métal (pour bénéficier d’un avantage fiscal sur la TVA), aux bijoux issus de la transmutation, aux diamants et à quelques pièces d’or. Dans ces salles sont entreposées plus de 80 armoires fortes dans lesquelles sont déposés des albums contenant les pièces. Car oui, loin des images que nous avons déjà diffusées sur les grandes réserves d’or de la LBMA ou de la Russie qui entreposent des bars d’or de 12 kg, nous conservons essentiellement des pièces… et elles méritent une attention particulière.

Comment sont réalisés les audits des coffres ?

Depuis plusieurs années, un organisme externe anglais “ALS” – spécialiste des métaux précieux – audite les coffres-forts gérés par le groupe AuCOFFRE. L’enjeu est de taille puisque qu’aujourd’hui, la quantité d’or stockée est de près de 7 tonnes et l’argent métal dépasse les 60 tonnes. Dans ce stock, la part attribuée aux clients de VeraCash atteint 3 tonnes d’or et 31 tonnes d’argent métal.

Si la quantité d’or et d’argent augmente chaque année, une fois les pièces rentrées dans le système informatique, numérotées, classées dans un album qui est lui-même rangé dans une armoire forte, ces pièces ne bougent plus sauf si elles sont retirées par leur propriétaire*. En effet, ces pièces ou fractions de pièces changeront de propriétaire tout en restant bien au chaud dans leur album.

ALS vient donc contrôler chaque année la cohérence entre les stocks “déclarés” par AuCOFFRE et VeraCash et la réalité des pièces et lingots effectivement présents dans les coffres

La première étape consiste donc à compter les pièces présentes dans les albums non-scellés : la majorité des albums ont une capacité de 500 pièces. La deuxième étape consiste à sélectionner aléatoirement quelques pièces référencées dans notre système informatique et vérifier qu’elles sont bien présentes dans l’album en cours de vérification.

Si le comptage et la vérification aléatoire ne révèlent aucune anomalie, l’album est mis sous scellé et n’aura plus besoin d’être audité, sauf s’il doit être à nouveau ouvert.

AMUAC : des clients vérifient nos processus et nos coffres !

Depuis plusieurs années, l’Association des Membres et Utilisateurs AuCOFFRE et VeraCash (AMUAC) participe aux audits annuels dans nos principales salles des coffres à Genève. Cette année encore, deux membres, Louis (membre AuCOFFRE) et Philippe (membre AuCOFFRE et VeraCash) étaient présents à Genève pour :

  • assister aux procédures de contrôles des stocks,
  • contrôler une liste de pièces aléatoire pré-établie en amont et appartenant à des adhérents de l’AMUAC,
  • poser des questions aux équipes AuCOFFRE et VeraCash présentes sur place,
  • rédiger un rapport d’audit consultable par tous les adhérents de l’AMUAC.

Ignacio et moi-même en avons profité pour répondre à toutes les questions relatives au fonctionnement spécifique de VeraCash, notamment la gestion des stocks fractionnés.

Information : à ce jour, l’adhésion à l’AMUAC n’est pas possible depuis la plateforme VeraCash et doit passer obligatoirement par un compte AuCOFFRE.

Témoignages de Philippe et Louis, clients et adhérents de l’AMUAC

“Client depuis 2013 des sociétés AuCoffre et VeraCash, j’ai eu la chance d’être mandaté cette année par l’AMUAC, pour participer à l’Audit annuel qui s’est déroulé les 12 et 13 décembre aux Ports Francs de Genève.

En présence des dirigeants de ces deux sociétés, nous avons pu effectuer un certain nombre de contrôles visuels par prélèvements aléatoires de nos pièces et constater qu’elles sont stockées de manière ordonnée, permettant leurlocalisation aisée et rapide.

La présence de deux dirigeants de VeraCash nous a permis d’appréhender plus en détail le mode de fonctionnement de VeraCash.

Je tiens à remercier tout particulièrement Nicolas et Ignacio pour tout le temps qu’ils ont passé à répondre à nos nombreuses questions en nous expliquant leurs activités et leurs futurs axes de développement.

Je rentre de cette mission convaincu que nos avoirs sont bien sécurisés et que le professionnalisme de ces deux sociétés est une vraie garantie de la bonne gestion de nos avoirs.”

Témoignage de Philippe, décembre 2023


« Client d’Aucoffre depuis le début de l’année, j’ai participé en binôme à la visite des chambres fortes de l’entreprise qui se trouvent à Genève à l’automne 2023.

La démarche qui fut la mienne a consisté en un coup d’œil « client » : curieux du soin et de la rigueur apportés à la gestion de mes produits (et, par corollaire, de ceux d’autres utilisateurs de la plateforme), j’ai entretenu des échanges cordiaux, riches et approfondis avec une équipe volontaire pour répondre à mes nombreuses interrogations. Par surcroît, j’ai eu l’opportunité d’assister à la vérification aléatoire de produits pour en attester l’existence physique ou informatique.

Au total, cette visite est utilement venue renforcer ma compréhension de l’entreprise et de son fonctionnement.”

Témoignage de Louis, décembre 2023


Connaissez-vous une banque ou un autre négociant de métaux précieux qui ouvre la porte de ses coffres à ses clients dans un souci de transparence ?

Un stock cumulé d’une valeur d’un demi milliard d’euros

Pour bien comprendre comment est géré le stock entre les deux sociétés, parlons ici de la manière dont l’or est vendu et donc de la complémentarité des offres.

Chez AuCOFFRE, les clients achètent le plus souvent des pièces “entières” et peuvent ainsi choisir finement quels types de pièce intégrer à leur portefeuille, en fonction de ses caractéristiques.

Chez VeraCash, l’or est fractionné et alloué, c’est-à-dire que les clients choisissent entre de l’or adossé à des pièces et de l’or adossé à des lingots mais ils n’ont pas la main pour choisir les pièces qui serviront de sous-jacent physique.

Lors des audits qui concernent spécifiquement VeraCash, nous contrôlons que les poids déclarés dans notre système informatique sont effectivement présents sous forme de produit. 

Techniquement, des produits sont attribués à différents comptes “pivots” pour chaque matière (“or pièce”, “or lingot”, argent métal). Sur ces comptes sont référencés des pièces ou lingots que nous allons chercher aléatoirement lors des contrôles ; comme pour les produits appartenant à des clients de la plateforme AuCOFFRE.

BONUS : l’audit annuel dans nos coffres en vidéo

Vous avez des commentaires, des réactions ou des questions ? Posez-les ci-dessous en commentaire !

Accéder aux Rapports d'audit 2023

Enfants qui lèvent la main dans une classe à l'école

Éducation financière en France : comment l’améliorer ?

Savoir gérer un budget et épargner ne sont pas des comportements innés ni anodins. Ils sont acquis au fil du temps, et souvent transmis dans le cadre familial. C’est ça, l’éducation financière. Loin d’être réservées à des experts de la finance, ces notions revêtent une importance cruciale, notamment pour assurer la sécurité et le bien-être financier de chacun.

À l’occasion de la Semaine pour l’éducation financière, zoom sur ses enjeux, sur le niveau de connaissances des Français et les solutions possibles pour l’améliorer.

Qu’est-ce que l’éducation financière et qui concerne-t-elle ?

Définition

Selon la définition de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), l’éducation financière est la « combinaison de conscience financière, de connaissance, d’habileté, d’attitudes et comportements nécessaires pour prendre les bonnes décisions financières et finalement arriver à un bien-être financier individuel apprécié par la personne elle-même ».

L’éducation financière et budgétaire ne concerne pas que les spécialistes de la finance, loin de là. Il ne s’agit pas de devenir expert en patrimoine, mais de savoir comment gérer un budget au quotidien et faire des choix éclairés en matière d’épargne. En cela, l’éducation financière vie aussi à lutter contre la pauvreté et le surendettement.

En France, une culture financière dans la moyenne

Selon l’enquête internationale de l’OCDE sur la culture financière des adultes publiée en 2023, la France obtient la note de 12,45/20. Si cette note progresse depuis l’enquête précédente réalisée en 2020 (12,17/20), elle reste très proche de la moyenne globale des 39 pays participants (12,07/20). Parmi les meilleurs élèves : l’Allemagne avec un score de 15,2/20 (source : Banque de France).

Ce qu’il faut surtout retenir de cette note et de cette (petite) progression : la nécessité d’un développement des connaissances du grand public en matière de finance et de gestion budgétaire.

Des connaissances plus faibles chez les jeunes, les seniors et les femmes

L’enquête de l’OCDE a mis en évidence des disparités en matière d’âge et de genre au sein même d’un pays. Les jeunes adultes détiennent moins de connaissances et ont tendance à adopter des comportements moins prudents au regard de leurs dépenses. Les femmes sont également concernées, et sont d’autant plus exposées au risque de pauvreté compte tenu des inégalités salariales (surprenant). Il est d’ailleurs établi que les femmes investissent moins que les hommes par manque de confiance et de connaissances, entre autres. Les personnes âgées souffrent aussi d’un déficit de compétences, en partie lié à l’usage croissant des outils numériques (application bancaire par exemple).

L’éducation financière pour mieux gérer son argent… mais pas seulement

Savoir gérer son budget et investir entraîne des répercussions bien au-delà des dépenses du quotidien, à l’échelle individuelle et collective. L’éducation financière n’est pas la panacée, mais force est de constater qu’elle impacte la société, la santé mentale, l’économie et l’avenir de l’ensemble des individus.

Quand éducation financière rime avec bien-être

Maîtriser ses dépenses, éviter le découvert à la banque, mettre un peu d’argent de côté tous les mois, savoir repérer les tentatives d’arnaques… Vous avez dit bon sens ? Vrai, mais les comportements financiers responsables s’acquièrent aussi grâce à l’éducation. Ils impactent directement le bien-être financier d’une personne… et sa santé mentale. Selon une enquête IFOP publiée en 2023, 87 % des Français ayant subi des difficultés financières ont déjà souffert de stress, d’anxiété ou d’épisodes dépressifs.

Faire des choix éclairés en matière d’investissement et préparer l’avenir

La culture financière est une solution pour prendre les meilleures décisions pour investir et épargner : elle permet entre autres de mieux comprendre les conseils des professionnels. Et peut-être, un jour, d’atteindre l’indépendance financière, qui sait ? Pour l’instant rien n’est moins sûr. Toujours selon l’enquête de l’OCDE, seulement 51 % des Français déclarent avoir mis de l’argent de côté sur un livret d’épargne en 2023. Et n’oublions pas la retraite, sujet sensible s’il en est : l’éducation financière aide à choisir les produits d’épargne adéquats pour compléter ses ressources.

Réduire les inégalités

Nous ne sommes pas tous égaux face à la culture financière. On l’a vu, les jeunes et les femmes font partie des populations dont les notions sont moins étendues que la moyenne, et l’éducation financière apparait comme une solution pour gommer ces inégalités. Le milieu social est un autre paramètre à prendre en compte. Pour les enfants et les adolescents, des actions de formation à l’école permettraient de ne plus dépendre uniquement du savoir transmis par leurs parents.

Stimuler la croissance économique du pays

Créer des richesses, réduire le taux de chômage, encourager l’investissement… Cela dépend aussi du niveau de connaissance financière des individus, et ce n’est pas si tiré par les cheveux que ça. Avec un meilleur bagage financier, les ménages adoptent d’autres manières de consommer. Un bon niveau d’éducation financière serait aussi plus propice à la création d’entreprises.

Quelles solutions pour améliorer la culture financière ?

Entre politiques gouvernementales et initiatives locales, les solutions existent… mais sont encore peu répandues.

Sensibiliser tous les publics

La Semaine de l’éducation financière (Global Money Week), organisée par l’OCDE, est l’un des moyens déjà mis en place pour donner de la visibilité à cet enjeu. En mars 2024, l’événement a pour thématique « Protège ton argent, assure ton avenir ! ».

Cette sensibilisation générale doit aussi s‘accompagner de mesures ciblées auprès des publics les plus fragiles. Les actions de médiation numérique, par exemple, font partie des pistes à explorer pour former les seniors et les personnes moins à l’aise avec les applications bancaires.

L’exemple de la stratégie nationale EDUCFI

En France, la stratégie EDUCFI lancée en 2016 vise à mettre en place des actions de sensibilisation et de formation pour tous. Cette stratégie aborde la gestion d’un budget, la compréhension des notions d’économie et la connaissance des outils de banque et d’assurance.

En tant qu’opérateur national du dispositif, la Banque de France propose plusieurs outils à destination du jeune public, des personnes en situation de fragilité et des entrepreneurs. Le passeport EDUCFI proposé dans les collèges a ainsi permis de former plus de 50 000 élèves en 2022 : un bon début.

? VeraCash s’engage en faveur du développement de l’éducation financière, notamment à destination des enfants : nous sommes signataires de la pétition pour un renforcement de l’éducation financière dans les programmes scolaires.

Ce qu’il faut retenir

  • L’éducation financière et budgétaire n’est pas une affaire de spécialistes : elle est indispensable pour apprendre à gérer son argent. Elle implique des enjeux à la fois individuels (bien-être financier de chaque personne) et collectifs (économie et société).
  • En France, les compétences financières sont moyennes et insuffisantes à l’heure actuelle. Certains publics disposent de notions moins avancées, comme les jeunes, les seniors et les femmes.
  • Le passeport EDUCFI proposé dans les collèges est l’une des actions mises en place dans le cadre d’une stratégie nationale pour améliorer le niveau des Français. Mais les solutions sont encore timides et peu visibles.


Illustration d'un sujet KYC pour le blog de Veracash

Qu’est ce que le KYC et pourquoi est-il nécessaire ?

Lorsque vous souscrivez à de nouveaux services financiers, vous passez systématiquement par une procédure de “KYC” lors de votre inscription. Derrière cet acronyme barbare se cachent de nombreux défis pour les entreprises financières, banques, fintech, plateformes d’échanges de crypto, etc.

VeraCash étant un service financier accessible aux résidents de l’Union Européenne (UE), nous souhaitons être totalement transparents sur les enjeux liés au KYC. C’est donc l’occasion de vous expliquer pourquoi nous vous demandons certaines informations.

Avant de valider toute inscription, nous avons besoin de vous faire confiance autant que vous nous faites confiance : c’est là que le « KYC » (« Know Your Customer » qui signifie en français “Connais Ton Client”) ou “KYB” (“Know Your Business” pour une entreprise) intervient.

[Mise à jour le 22/09/2023]

Qu’est ce que le KYC ?

VeraCash est actuellement enregistrée comme agent officiel d’un établissement de paiement français, Treezor SAS. Ce partenariat nous permet d’émettre une carte de paiement Mastercard et de proposer un compte avec un IBAN français. Cet établissement de paiement a un agrément auprès de l’autorité bancaire de son pays, valable dans l’Union Européenne grâce au mécanisme de “passeport”.

En tant qu’agent, nous devons vérifier que vous êtes bien la personne que vous prétendez être. Bien sûr, nous n’insinuons pas que vous avez des raisons de cacher votre identité mais certaines personnes ont des prétextes pour le faire. On y reviendra plus tard…

À votre inscription sur la plateforme, VeraCash vous demande la copie d’une pièce d’identité lisible, un justificatif de domicile et un RIB : c’est la partie immergée de l’iceberg. Sans rentrer dans les détails, des algorithmes vérifient chaque document pour déterminer qu’il n’a pas été volé ou falsifié et appliquent certaines règles visant à lutter contre la fraude. Et nous voyons passer des faux documents chaque semaine.

Qui est concerné par le KYC ?

À l’origine, seules les banques et les assurances étaient concernées par ces régulations mais le secteur financier ne cesse d’évoluer. Les directives européennes sur les services de paiement DSP1 et DSP2, dont nous avons parlé dans un article récent, permettent à des acteurs d’un nouveau genre, les fintech (abréviation de “Financial Technology”), de moderniser les services de paiement.

Aujourd’hui, les fintech (VeraCash en est une) et beaucoup d’autres activités (1) comme les plateformes d’échange de crypto-monnaies, sont considérées comme des acteurs financiers à part entière. Elles sont donc concernées par toutes les évolutions de la régulation financière dont LCB-FT, comprenez ici lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

Infographie des activités illicites et de la fraude à l'origine de l'argent sale

Si VeraCash permettait le financement d’activités illégales, l’achat d’armes de manière anonyme et le blanchiment d’argent en toute impunité, l’ensemble de nos clients finiraient par être impactés négativement. Ces cas peuvent paraître extrêmes mais sont aujourd’hui une réalité du monde financier. À votre avis, pourquoi les hackers exigent des paiements en Bitcoin lorsqu’ils piratent des entreprises avec des ransomwares (2) ? Tout simplement parce que leur anonymat est protégé.

Pourquoi le KYC est-il nécessaire ?

Simplement parce que c’est une obligation légale. À ce jour, c’est la directive (UE) 2015/849 qui régule le système financier européen, depuis son entrée en application en juin 2017. En France, l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution) veille à ce que ces directives soient appliquées par tous les acteurs financiers.

Par extension, et c’est finalement le plus important, le KYC nous permet de créer un service sûr pour tous nos utilisateurs en excluant les fraudeurs, les blanchisseurs d’argent, les terroristes, etc. En tant que client de notre plateforme, vous êtes aussi protégé de toute usurpation d’identité ou de tentative de détournement de votre compte. C’est aussi dans ce but que nous avons parfois été obligés de durcir certaines conditions au fil du temps, pour améliorer la sécurité des comptes de nos membres et garantir la probité de notre système dans son ensemble.

[Spoiler] Dirty Money : l’histoire vraie d’une banque qui se passe volontairement du KYC

Netflix propose la série de documentaires “Dirty Money”. L’un des épisodes est consacré à la banque HSBC, devenue l’institution financière préférée des cartels de drogue mexicains il y a quelques années : l’ouverture d’un compte ne nécessitait alors aucun KYC.

La banque est accusée d’avoir blanchi un total de 800 millions de dollars du cartel de Sinaloa et d’être indirectement responsable de la mort de plus de 10 000 Mexicains.

La banque s’en sort sans aucune condamnation et « seulement » 1,9 milliards d’amende négociée avec la justice américaine pour l’abandon des charges… soit l’équivalent de 5 semaines de bénéfices nets.

Quelles sont les procédures de KYC et KYB de VeraCash ?

[Mise à jour : l’ouverture de comptes Jeune étant pour le moment suspendue, merci de vous référer à notre Centre d’aide pour avoir des informations à jour sur les documents acceptés pour les comptes Particulier et comptes Professionnel.]

Dans un monde rêvé, on serait ravi de ne vous demander qu’un email pour créer un compte. Mais voilà, le monde idéal n’existe pas. On vous assure que l’on impose le minimum de procédure pour répondre à la loi d’une part, et garantir un maximum la sécurité de votre compte d’autre part.

Si vous souhaitez ouvrir un compte gratuitement, il faut donc que vous passiez nos procédures de vérification qui évolueront dans les prochains mois :

Pour un compte Personnel :

  • Fournir les 3 documents :
    1. Une pièce d’identité en cours de validité
    2. Un justificatif de domicile de moins de 3 mois
    3. Un RIB
  • Réaliser un selfie
  • Compléter les information de votre profil.

Pour un compte Jeune :

Ajouter en plus des documents de base :

  • Une preuve de filiation
  • Une autorisation signée par le responsable légal.

Pour un compte Professionnel (KYB) :

Ajouter en plus des documents de base :

  • L’extrait de Kbis
  • Les statuts de la société.

Certains d’entre vous sont parfois surpris de devoir fournir un justificatif lors du crédit de votre compte VeraCash. Ici, c’est le dispositif anti-blanchiment qui s’applique donc un justificatif de provenance des fonds est nécessaire dans le cas suivant :

  • pour tout versement (unique) supérieur à 10 000€
  • pour tout volume de dépôts supérieur à 10 000€ cumulés sur un mois glissant

Est ce que mes informations sont en sécurité ?

Avant même que le RGPD soit mis en place, la sécurité de vos informations était déjà une priorité : nos serveurs sont chiffrés (SSL et TLS 1.2) et audités régulièrement par des professionnels de la Sécurité des Systèmes d’Informations.

Évidemment, vos informations personnelles ne sont revendues à aucun autre organisme commercial et restent la propriété exclusive de la société VeraCash et de son partenaire Treezor. Seules les autorités peuvent y accéder en cas de procédure pénale, ce qui est extrêmement rare.

Voilà ! vous savez tout.

À ce stade, on espère que vous êtes rassuré sur le fait que VeraCash fait le nécessaire pour offrir un environnement sécurisé et sain pour tous. Pour la majorité des personnes qui n’ont rien à se reprocher, et on est sûr que vous en faites partie, l’inscription est totalement gratuite et sans abonnement.

Si vous avez encore des questions, n’hésitez pas à les poser en commentaire ci-dessous. ?


(1) De nombreuses activités sont aujourd’hui concernées par la LCB-FT telles que Les compagnies et les courtiers en assurance, les institutions de prévoyance, les mutuelles et unions d’assurances, de réassurance et de capitalisation, les experts-comptables et les salariés autorisés à exercer la profession d’expert-comptable, les avocats, les notaires, les huissiers de justice, etc. (liste complète ici).

(2) Selon l’éditeur de logiciel Kaspersky, “un ransomware est un type de programme malveillant conçu pour pirater les ordinateurs et forcer les victimes à payer une rançon pour que leurs fichiers soient déchiffrés. Les pirates informatiques infectent votre ordinateur en vous demandant de télécharger la pièce jointe malveillante attachée à un e-mail ou de vous rendre sur un site contenant un code, qui chiffre par la suite vos fichiers critiques ou vous refuse l’accès à votre ordinateur.”


frais bancaires étranger avec veracash

Comment éviter les frais bancaires à l’étranger ?

C’est souvent la mauvaise surprise quand on voyage : les frais bancaires peuvent être élevés. Dépenses courantes via sa carte bancaire, retrait d’argent dans un distributeur de billets : l’addition des commissions et autres frais peut être salée. Sauf si vous faites les bons choix !

Les frais bancaires à l’étranger, c’est la jungle !

Entre les commissions de votre banque, les taux de change interbancaires, les frais demandés par certains opérateurs de DAB (Distributeurs Automatiques de Billets), utiliser de l’argent en dehors de nos frontières a un coût. Seulement, il est difficile de pouvoir donner des chiffres précis. En effet, chaque établissement bancaire applique sa propre tarification. Des prix qui sont communiqués chaque année aux clients, mais (que trop) peu consultent.

La tarification de l’Europe de la finance est commune

S’il y a bien un domaine pour lequel l’Europe est unie, c’est bien la monnaie et la finance. Grace à l’Euro et à l’IBAN vous bénéficiez (ou vous subissez) dans tous les pays d’Europe, les mêmes tarifs pour tous les services bancaires.

Si dans votre convention de compte, il est prévu que vous n’avez pas de frais pour les paiements avec votre carte bancaire, alors c’est la même chose dans toute l’Europe. En revanche, il est toujours possible que la banque locale (à l’étranger en vacances ou pour un déplacement professionnel) facture des frais pour les retraits d’espèces dans les DAB. C’est souvent le cas en France pour des retraits auprès des distributeurs des concurrents. Vous pouvez être victime d’une double peine : l’addition des deux frais.

Bon à savoir : Les transactions dans les pays qui utilisent l’euro, sans faire partie de la communauté européenne, peuvent subir quelques frais et commissions : le Kosovo, le Monténégro notamment.

Hors zone euro : frais de change et commissions pour tous

Les frais et commissions sont différents selon les banques. Il existe donc 3 sources de prélèvement : les frais fixes, les commissions et les frais de change.

Très cher cash !

Les banques facturent fortement le retrait d’espèces à l’étranger. En effet, comptez des frais fixes – entre 2 et 3,5 € – et une commission entre 2 et 3 % du montant retiré. Ajoutez à cela la tarification locale du DAB mais aussi les « frais de change » de la banque. Quand il transforme la monnaie étrangère en euros pour les prélever sur votre compte, votre « partenaire » financier va appliquer un taux de change qui lui est favorable pour prendre une commission. C’est un coût supplémentaire. Il est donc recommandé de faire peu de retraits à l’étranger, ou uniquement de grosses sommes pour réduire la part des frais fixes.

Frais de retrait dans un distributeur automatique de billets au Canada
Frais de retrait dans un distributeur automatique de billets au Canada

Une commission pour chaque paiement

Généralement, vous constatez le coût de vos dépenses en dehors des frontières de l’Europe à votre retour de voyage. Le temps que l’écriture passe sur votre compte, vous êtes rentré. Et là, mauvaise surprise : les commissions se multiplient (achat à l’étranger) ainsi que les taux de change majorés. Cela coûte environ 2 à 4 % du montant de chaque transaction.

Frais de paiement par carte du Crédit Agricole au Canada
Frais de paiement par carte au Canada (Crédit Agricole)

Des solutions de paiement sans frais existent

Pour éviter les frais des opérateurs de distributeurs automatiques de billets, il y a toujours la solution de voyager avec des espèces retirées en France. Si vous voulez sortir du pays avec une somme égale ou supérieure à 10 000 euros, il faut absolument faire une déclaration en douanes.

Sortir de l’argent est gratuit mais oublier de le déclarer peut coûter jusqu’à 50 % de la somme. Les autorités peuvent aller jusqu’à confisquer la totalité des liquidités non déclarées.

Évidemment, voyager avec des billets et des pièces dans ses bagages n’est pas obligatoirement très sécurisant.

Bon à savoir : l’Administration considère que toutes les valeurs sont concernées, pas seulement les billets et les pièces. Jetons de casino, actions, cartes prépayées et aussi or et argent passent aussi en douane s’ils sont estimés à 10 000 euros et plus.

Les offres de la Fintech sont moins chères

Il est facile de remarquer que les conditions tarifaires des banques en ligne sont plus avantageuses que celles des banques traditionnelles. Même quand il s’agit d’une filiale d’une banque systémique, les commissions de paiement et de retrait sont moins élevées.

Certains nouveaux arrivants dans le monde de la banque jouent aussi sur le montant de ces frais pour attirer de nouveaux clients. Attention toutefois aux subtilités des offres avec, selon les montants des abonnements, une tarification différente pour les transactions à l’étranger. Moins vous payez de frais de compte, plus vous verserez une commission.

VeraCash : zéro commission, pas de frais pour les transactions à l’étranger

Chez VeraCash, il a été décidé dès le départ qu’il n’y aurait aucun frais pour les paiements et les retraits à l’étranger. Et comme la tenue du compte est gratuite aussi, c’est sans doute une des  offres les plus intéressantes du marché.

A noter : La carte de débit VeraCash vous permet de retirer dans plus de 2 millions de distributeurs automatiques de billets et de payer chez plus de 40 millions de commerçants du réseau Mastercard dans le monde.

Tout savoir sur la Mastercard VeraCash

Un taux de change interbancaire négocié

Vous n’avez aucun coût caché venant de VeraCash. Nous appliquons le taux de change Mastercard au moment du paiement. Un géant des échanges financiers, comme Mastercard, bénéficie de taux de change interbancaires favorables. Ce taux, fixé en temps réel est proche des échanges de devises entre les banques. Le deuxième plus gros opérateur de paiement du monde est au cœur de volumes importants, et génère de nombreuses commissions pour les banques locales. Il peut alors se permettre de demander un taux attractif pour ses clients, dont ceux de VeraCash.

A noter : Si votre transaction a été convertie par le commerçant ou par l’exploitant du distributeur automatique (DAB), alors les taux de change de Mastercard ne s’appliqueront pas. Cela se produit généralement lorsque vous choisissez de payer dans la devise de votre carte plutôt que dans celle du commerçant ou du DAB.

Convertisseur de devise MasterCard

Avec l’application VeraCash vous suivez en temps réel vos dépenses et vos retraits dans les pays que vous visitez. Partez en voyage l’esprit tranquille !

À retenir pour vos déplacements à l’étranger, hors de la zone EUR :

  • VeraCash ne prend aucune commission sur les retraits et paiements en EUR ou autres devises,
  • Lors de vos paiements chez des commerçants dans une autre devise que l’EUR, le taux de change Mastercard est appliqué,
  • Lors de vos retraits en DAB hors de la zone EUR, veuillez choisir l’option “Retirer dans la devise locale” pour bénéficier du taux de change Mastercard.

Carte de débit Mastercard VeraCash

gestion du compte VeraCash

10 conseils pour bien gérer son compte VeraCash

Un compte VeraCash c’est simple à utiliser ! VeraCash, une appli et des fonctionnalités très pratiques, des opérations fluides et des informations accessibles à tout moment. Nous vous avons dégoté 10 « tips » qui vous permettent d’optimiser la gestion de votre compte VeraCash®.  Et d’ailleurs, le 8ème conseil va vraiment vous interpeller. Certains seront surpris même…

1. Télécharger l’application VeraCash® pour gérer son compte, c’est la base !

Avec l’application VeraCash sur votre smartphone, vous avez accès à votre compte en permanence. Le bouton vert et son symbole VeraCash blanc sont bien visibles au milieu de toutes vos applications. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la connexion via l’application est au moins aussi sécurisée que sur le site web, si ce n’est plus (car votre navigateur internet n’est plus une potentielle faille de sécurité).. L’application VeraCash est développée et maintenue par un partenaire qui a réalisé l’appli d’une autre grande banque, Fortuneo. Une grande attention est portée sur l’architecture et la sécurité des  différents protocoles de communication (APIs).

2. Pour suivre son compte, il faut se connecter régulièrement !

Régulièrement ne veut pas dire frénétiquement ! Pour le moment, le solde de votre compte VeraCash n’évolue pas toutes les secondes mais toutes les 15 minutes. Cela dit, une connexion régulière vous permet notamment de vérifier sur votre compte le montant de vos plus-values éventuelles qui changent au rythme des cours de l’or et de l’argent. Avant une dépense, cela vaut le coup d’aller y jeter un œil pour choisir son moyen de paiement.

VeraCash credit distribution

3. Vérifier régulièrement la répartition de ses métaux précieux

Le compte VeraCash est adossé à des métaux précieux, de l’or et de l’argent, sous forme de pièces, lingots ou jetons. C’est sa spécificité. Mais en plus, chaque utilisateur a la possibilité de choisir sa répartition en métaux précieux : la part d’or et d’argent. Et selon ses envies, ses choix ou le moment, il est possible de la modifier. Donc, il faut régulièrement ouvrir son appli VeraCash pour la vérifier et peut-être la faire évoluer.

4. Privilégier les dépôts en virement plutôt qu’avec une CB

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, VeraCash a décidé de prendre à sa charge les frais de dépôts en CB pour encourager le développement de votre épargne. Vous les voyez d’ailleurs apparaître sur votre application mobile sans que ces derniers ne soient appliqués ! Avant leur remise en service, il est donc peut-être utile de prendre de bonnes habitudes en utilisant le virement pour créditer votre compte. Si son délai de traitement est un peu plus long que le dépôt CB (de 24 à 48h maximum), ce service est totalement gratuit ! Et pour les plus pressés d’entre vous, l’option virement instantané a été activée depuis mars 2022 sur votre compte VeraCash pour vous permettre d’être au plus près de la cotation d’achat du moment.

À noter : Le virement instantané peut faire l’objet de frais supplémentaires facturés par la banque émettrice. Renseignez-vous auprès de votre agence. De plus, ce moyen de crédit en quelques minutes ne peut faire l’objet d’une quelconque annulation. Vérifiez bien l’IBAN personnel VeraCash sur lequel vous faites votre virement.

5. Mettre en place un virement automatique tous les 6 mois pour éviter les frais de compte inactif (oxydation)  

Sur le compte VeraCash, il n’y a pas à payer de droits de garde. Et pourtant, les onces d’or et d’argent sur lesquels votre compte est adossé sont stockées dans des coffres hautement sécurisés. Cela a bien évidemment un coût considérable, plusieurs centaines de milliers d’euros, pour la gestion de nos propres salles des coffres et pour les assurances. Nous avons mis en place une méthode originale pour éviter le stockage permanent de métaux précieux, sans jamais faire circuler de VeraCash : l’oxydation

Le principe est simple : si votre compte VeraCash est sans activité (ni crédit, ni débit) pendant 6 mois, une part dite d’oxydation est prélevée de l’ordre de 0,2% par jour. Pour éviter ce coût, il est donc recommandé de mettre en place un virement automatique d’au moins 1 euro tous les 6 mois. Et rassurez-vous, nous avons l’habitude de prévenir nos clients un peu endormis avant la date limite !

6. Faire des crédits régulièrement pour lisser les effets de cours

On appelle ça le DCA (Dollar Cost Averaging ) et ce n’est donc pas une défense anti-aérienne. Non, c’est une méthode d’investissement programmée qui permet d’éviter les effets de cours (des pics ou des chutes). 

Le principe est assez simple : on va fractionner son investissement avec des virements réguliers pour créditer son compte. Mécaniquement, on va avoir une moyenne du prix de l’or, parfois un peu élevé à d’autres moment moins cher. C’est vous qui décidez de ne pas vous intéresser du tout à l’évolution des cours des métaux précieux. Sinon, vous pouvez aussi attendre que les cours de l’or et de l’argent se retrouvent sur un support comme l’explique sur la chaîne Youtube de VeraCash le spécialiste de l’expertise technique Tradosaure. Avec la répartition, vous pouvez aussi choisir de privilégier selon les tendances l’un ou l’autre métal.

La série de notre chaîne Youtube "Les spécialistes" qui vulgarise les concepts économiques
répartition des métaux précieux VeraCash

7. Verrouiller sa répartition au débit

On l’a vu avec notre conseil numéro 3, il est possible de choisir sa répartition de matières précieuses pour les crédits sur son compte VeraCash. (Si vous ne vous en souvenez plus, remontez de quatre cases sans passer par la banque). Eh bien, cette répartition est prévue pour les dépenses, les débits donc. Par défaut, cette répartition est proportionnelle mais vous pouvez choisir de « verrouiller » une seule matière pour vos transferts de valeur ou vos achats avec votre carte de paiement. Ainsi, vous choisissez de ne dépenser qu’avec de l’or ou avec de l’argent !

8. Paramétrer vos notifications par email

On vous avait prévenu, c’est surprenant non comme conseil ? Surprenant mais bigrement utile surtout. En effet, vous êtes nombreux à nous contacter parce que vous n’avez pas d’informations sur un paiement, un crédit ou autres actes de gestion sur votre compte VeraCash. Souvent, c’est simplement un problème de notifications de mails mal paramétrées. Alors pensez à les vérifier.

VeraCash envoie des emails dits “transactionnels” indispensables car directement liés aux opérations liées à votre compte et des emails dits “marketing” (facultatifs) qui permettent de communiquer l’ensemble des nouveautés et développements. Dans le premier cas, c’est à vous de vous assurer que ces emails indispensables ne finissent pas dans votre dossier Spams.

9. Se renseigner sur la fiscalité !

Vos choix d’or disponibles sur votre compte VeraCash mais aussi le montant de vos dépenses peuvent avoir une incidence sur la fiscalité. Pour cela, vous retrouverez toutes les informations sur notre site si vous êtes résident fiscal français. Pour les autres pays, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’administration fiscale locale.

10. Penser à parrainer des proches

Évidemment, quand on a un bon plan, on le garde ! Mais quand même, un compte VeraCash ce n’est pas un coin à cèpes secret ou un petit troquet de quartier qui sert la meilleure tête de veau du pays. Donc, on peut en parler autour de soi. Cela permet aussi de créer un réseau et ainsi payer votre entourage gratuitement en métaux précieux, comme vous le feriez avec un compte Paypal par exemple. 

Et parrainer, c’est facile. Il suffit de se rendre sur son application VeraCash (téléchargée depuis la lecture du conseil numéro 1. Remontez de 9 cases toujours sans passer par la banque). Dans le menu, une rubrique parrainage. À chaque filleul, 10 VeraCash sont crédités sur votre compte.


achat or et argent métal veracash et veravalor

De l'or et de l'argent physiques chez vous

Depuis 2012, VeraCash® vous propose de digitaliser vos investissements en or et en argent physiques tout en bénéficiant d’une garde en coffre gratuite¹ et sécurisée au port franc de Genève. Cette activité de logistique des métaux précieux est notre coeur de métier.

Aujourd’hui, face à un contexte géopolitique tendu aux portes de l’Europe et aux multiples sanctions économiques qui ont déjà des répercussions concrètes sur notre quotidien, nous vous proposons pour la deuxième fois de notre histoire – et en partenariat avec VeraValor – de recevoir à votre domicile le fruit de votre épargne résiliante sous forme d’un « kit de survie », facilement monnayable en cas de besoin.

Pourquoi ces kits de survie ?

Un certain nombre de questions nous sont régulièrement posées sur différents aspects de résilience et de survivalisme dans des contextes de crises. Notre but ici n’est pas de prédire la fin du monde, mais nous restons convaincus qu’avoir un peu d’or ou d’argent métal chez soi peut avoir du sens dans certains scenarii, par exemple une inflation extrême, comme celle que connaît le Venezuela depuis plusieurs années. Certaines régions du monde, qui sont aurifères, autorisent aussi l’or comme “monnaie” dans un contexte économique “normal”.

A travers ces deux kits de survie, nous avons donc souhaité mettre à votre disposition des pièces en or et en argent qui ont un cours légal et une valeur intrinsèque qui permettraient de les monnayer facilement. Comprenez ici que monnayer un lingot qui n’est pas sécable est quasi impossible, sauf de le revendre à un professionnel de l’or.

Enfin, comme nous vous le disons précédemment, cette opération nous permet de réaffirmer notre position d’acteur majeur dans la logistique des métaux précieux en vous proposant de convertir une partie de vos VRC en actifs tangibles, palpables directement chez vous.

Vous êtes plutôt or

10 Vera One 1g

en or pur 999.9‰ à cours légal de 2 GIP

Vous êtes plutôt argent

10 Vera Silver Gecko 1 once

en argent pur 999.9‰ à cours légal de 1 dollar Néo-Zélandais

Pour convertir vos VRC en « kit de survie »

  • Vérifiez que le solde et les plafonds de votre compte VeraCash® soient suffisants pour acheter un ou plusieurs kits,
  • Pensez à la répartition de vos opérations en débit pour ne dépenser que la matière qui vous intéresse,
  • Évitez tout VPN au moment du paiement, ce qui pourrait compromettre la validation de votre achat.

En tant que client VeraCash®, vous pouvez bénéficier d’une réduction de 3% sur le prix public, correspondant aux frais de gestion déjà payés lors de votre crédit de compte. Les clients éligibles à la réduction ont reçu par mail un code promo leur permettant de bénéficier de l’offre. Si vous avez entre temps effectué un crédit de compte suffisant pour pouvoir convertir vos VRC en kit de survie, merci de nous contacter en message privé sur Facebook ou Twitter en mentionnant votre identifiant public.

L’offre est valable un mois jusqu’au 9 Avril 2022 et sous condition de stocks disponibles. De plus, la livraison est offerte pour toutes commandes en France métropolitaine.

Donnez votre avis


Cette offre ne correspond pas à vos attentes ? Vous avez envie que l'on vous propose d'autres solutions pour diversifier et sécuriser votre épargne ?
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1 : La garde en coffre gratuite est soumise à l’utilisation régulière de votre compte VeraCash – avec au moins 1 action de crédit au cours des six derniers mois.


Communiqué Presse - La Chine déclare illégales les cryptomonnaies. Quel impact pour les monnaies virtuelles, la bourse, les prix ?

La Chine déclare illégales les cryptomonnaies. Quel impact pour les monnaies virtuelles, la bourse, les prix ?

Paris, le 24 septembre 2021

Les institutions financières du monde entier n’ont pas cessé d’alerter sur les dangers des monnaies virtuelles. La Chine a lancé le E-Yuan, sa propre monnaie, mais paradoxalement interdit le mining et l’utilisation de toute autre monnaie numérique sur son territoire.

Quel impact sur les prix du Bitcoin et des autres monnaies numériques ? Comment vont réagir les banques centrales ?

Jean-François Faure, expert en monnaies, dirigeant-fondateur de VeraCash, analyse la situation et les enjeux stratégiques des monnaies numériques.

Pour toute demande d’interview merci de contacter :
Carla van Benschop – 01 73 01 45 52 / 07 69 30 75 07 –
[email protected]


Nouvelle carte particulier VeraCash

De PFS à Treezor : retour sur un fonctionnement identique depuis 2012

Que vous soyez client de longue date ou que vous ayez rejoint la plateforme plus récemment, la transition en cours vers un nouveau partenaire génère son lot d’interrogations et de confusions.

Nous allons donc répondre ici à plusieurs de vos questions, qui font suite à nos récentes annonces.

VeraCash a-t-elle réellement une activité hors de la banque ?

Depuis 2012, le fonctionnement de VeraCarte, devenue une société à part entière en 2015, n’a jamais changé. En fait, il est important de distinguer les deux briques qui fonctionnent de pair : le cœur de métier lié aux métaux précieux et les services de paiement associés au compte.

Intéressons-nous d’abord nous au cœur de métier : l’achat, le stockage aux Ports Francs et Entrepôts de Genève et la vente de métaux précieux. Nous maîtrisons toute cette chaîne 100% hors du système bancaire : les métaux précieux sont stockés dans nos propres coffres (ceux de notre maison mère) en “zone franche”, en Suisse.

VeraCash pourrait se contenter de permettre l’achat de l’or tokenisé sur un compte en ligne et la vente par un virement vers votre compte bancaire uniquement. Mais vous avez compris que l’intérêt réside principalement dans le fait de pouvoir disposer de vos métaux précieux à n’importe quel moment et chez n’importe quel commerçant du monde entier (du réseau Mastercard).

De PFS à Treezor, pourquoi être agent d’un établissement de paiement ?

Si vous avez manqué nos dernières communications, VeraCash a annoncé un changement de partenaire en 2021, puisqu’elle passe de PFS Card Services Ireland Limited (PCSIL) à Treezor.

Nos membres les plus anciens se souviennent d’un changement similaire en 2014. A l’époque, notre premier établissement de paiement “Aqoba” avait fait faillite. La même procédure de transition était donc indispensable et urgente. Elle s’est faite de manière transparente et sans interruption de service.

Nous avons choisi de nous concentrer sur notre cœur de métier et de passer par un partenaire extérieur pour ajouter la brique “paiement”, incluant l’émission de la carte et la gestion de l’IBAN. Nous avions d’ailleurs déjà rédigé un article sur notre statut d’agent il y a quelques années.

Quels sont les avantages de ce fonctionnement ?

  1. Les paiements (sous toutes ses formes) sont soumis à la réglementation LCB-FT en Europe et dans le monde entier. L’établissement de paiement dispose de l’agrément nécessaire et en fait bénéficier directement ses agents dont VeraCash fait partie. Cela nous évite ainsi des démarches administratives longues et très coûteuses.
  2. VeraCash garde une structure flexible en maîtrisant sa masse salariale et en ayant la possibilité de changer d’EP à tout moment.

Fonctionnement de VeraCash

Quels ont été les principaux changements depuis 2012 ?

Depuis le lancement de la VeraCarte en 2012, alors associée à un compte AuCOFFRE, puis de la création de la société VeraCash SAS fin 2014, le fonctionnement a peu évolué.

Seuls quelques ajustements du Business Model ont été réalisés pour assurer la pérennité de l’activité ou pour réduire les coûts des moyens de paiements pour nos clients :

  • 2014 :
    • 2 nouvelles matières sont ajoutées, l’argent métal et le diamant.
    • l’abonnement à la carte passe de 110 euros à 40 euros par an.
  • 2016 :
    • les commissions sur les achats d’argent métal sont réduites de 10% à 7%.
    • l’abonnement à la carte de paiement (40 euros par an) est définitivement supprimé.
  • 2018 : les frais de comptes inactifs (“oxydation”) sont mis en place. Ils sont l’équivalent de frais de garde en coffre pour les comptes dormants.
  • 2019 : une nouvelle matière est ajoutée pour les clients internationaux : l’or adossé aux lingots “GoldSpot”.
  • 2020 :
    • une distinction est faite entre les virements immédiats (avec spread de 6%) et les virements différés (sans spread) pour optimiser la gestion des flux de matière entre les clients vendeurs et acheteurs.
    • la répartition de matière est ajoutée pour les débits : un client peut ainsi choisir de débiter une seule matière s’il souhaite épargner les autres.
    • il est possible de demander un virement vers le compte bancaire depuis l’espace membre et l’app et il n’est ainsi plus obligatoire d’appeler le service client.

Pourquoi faut-il à nouveau renvoyer votre document d’identité et accepter de nouvelles CGU Carte ?

Simplement parce que vous entrez dans une relation transactionnelle avec Treezor, comme vous l’étiez avec PCSIL et Aqoba cités plus haut. C’est la raison pour laquelle les CGU Carte sont historiquement liées à un partenaire extérieur et les CGU Services sont propres à VeraCash.

Vous devez également renvoyer sur un canal sécurisé votre document d’identité car il n’y a pas de transfert entre PCSIL et Treezor : ici, c’est la protection de vos données qui est en jeu. Vos données personnelles seront supprimées chez PCSIL une fois la migration terminée. Enfin, vos données sont strictement confidentielles et réservées à l’usage de Treezor et VeraCash et respectent la réglementation RGPD en vigueur.

La nouvelle procédure via “Ubble” prend environ 3 minutes à chaque client que nous devons embarquer chez Treezor (consulter les FAQs).

Mais soyons clairs, nous savons que cette procédure vous embête et croyez-nous, elle nous embête aussi ! Cette période de transition met notre Service client sous pression car il doit accompagner nos nombreux clients âgés, non équipés de smartphone ou qui rencontrent diverses difficultés.

L’État a-t-il accès à vos données personnelles transmises lors du KYC / KYB ?

Et bien non, il faut une réquisition judiciaire pour que les autorités puissent accéder à vos données personnelles, ce qui est arrivé peu de fois depuis que nous existons.

Nous devons donc essentiellement 1) justifier que nous n’acceptons pas n’importe qui sur notre plateforme auprès des autorités grâce à nos procédures KYC / KYB (fraudeurs, blanchisseurs et trafiquants en tout genre, terroristes…) et 2) savoir vraiment qui vous êtes en cas d’usurpation d’identité.

D’ailleurs, intéressons-nous à ce deuxième objectif. Sans aucun document ni aucune procédure de vérification, il serait quasiment impossible de protéger les comptes de nos membres, par exemple suite au piratage de leur email personnel ou l’usurpation de leurs coordonnées. Des comptes avec plusieurs milliers ou dizaines de milliers d’euros pourraient être ainsi vidés par des escrocs. Certes, ces procédures sont parfois pénibles, mais elles vous protègent aussi de ces gens malveillants que nous voyons régulièrement essayer d’exploiter notre système et profiter de nos clients les plus vulnérables.

Et puisque le KYC est quelque chose de frustrant pour vous et pour nous, nous avons même décidé d’aborder le sujet sans tabous avec nos clients :

La question est finalement celle-ci : préféreriez-vous un établissement qui est laxiste avec la gestion de votre argent ou qui s’assure systématiquement que la personne qui accède au compte est bien son propriétaire ?

Peut-on encore acheter de l’or physique de façon anonyme ? 

Oui, si vous voyagez et que vous accédez au marché noir. Il faut ensuite pouvoir le transporter, et prendre le risque de devoir justifier de sa provenance en cas de contrôle aux douanes et être en capacité de le stocker de manière sécurisée.

VeraCash est une entreprise qui a fait le choix de garder son siège à Bordeaux en France et non à Malte, aux Bahamas ou dans tout autre paradis fiscal où les règles sont celles du Far West. La société est donc soumise aux règles en vigueur en France. Nous comprenons tout à fait que vous préféreriez acheter de l’or de façon anonyme alors que vous êtes certainement quelqu’un d’honnête, nous aussi (employés) aimerions pouvoir le faire. Mais sans règles, nous pourrions rapidement devenir l’une des institutions préférées des dealers de drogue, qui seraient ravis de pouvoir blanchir leur argent sale sur notre plateforme. Et ce n’est qu’un exemple de la réalité de notre monde financier.

En résumé, VeraCash a effectivement dû procéder à quelques ajustements depuis la création du service en 2012 mais nous avons toujours veillé à être transparents sur nos frais et nos règles du jeu. Et les développements (importants) en cours nous permettent de créer un socle robuste pour toutes les nouvelles fonctionnalités que nous avons promises à nos clients, sans changer le fonctionnement de la société.

Enfin, notre principal objectif reste le même depuis le début : vous proposer un système de confiance, fiable et pérenne, qui vous permettra un jour, on l’espère, de faire de VeraCash votre second compte après votre compte bancaire.

Vous avez d’autres questions relatives à cette transition ? Posez-les en commentaire de cet article.


DCA - bull and bear markets

Dollar Cost Averaging (DCA) : Comprendre l’Investissement Programmé

Complexes, risquées, chronophages, coûteuses… Les stratégies d’investissement utilisées par les professionnels de la finance présentent en règle générale de nombreux inconvénients pour les particuliers.

Nos clients nous demandent très souvent à quel moment il faut acheter de l’or. Et puisque nul ne peut prédire ce que seront les cours demain, nous vous présentons une stratégie d’investissement des plus sérieuses qui séduit aujourd’hui un nombre croissant d’investisseurs particuliers désireux de se constituer une épargne de sécurité sur le long terme : l’investissement programmé, également qualifié de Dollar Cost Averaging.

Découvrons ensemble ce qu’est l’investissement programmé, les grands principes de cette stratégie très simple, ses multiples avantages pour l’investisseur, et son application pratique aux achats d’or physique.

[Avertissement] Les éléments présentés dans cet article ne représentent pas un conseil en investissement et n’ont qu’un objectif pédagogique et d’information. Les performances passées d’un actif (action, tracker, or, argent métal, etc.) ne préjugent pas des performances futures.

Qu’est-ce que le Dollar cost averaging (DCA) ?

Définition du DCA

Le Dollar cost averaging (DCA) est une stratégie d’investissement consistant à investir avec régularité une somme d’argent donnée sur un actif, et ce, quelles que soient les fluctuations du marché.

Aussi appelée “investissement programmé” ou “achats périodiques par sommes fixes”, cette stratégie de Trading vise à lisser les risques liés à la volatilité des prix sur les marchés financiers.

Fonctionnement

Pour tirer le meilleur parti de marchés structurellement haussiers sur le long terme, il est essentiel pour l’investisseur de se prémunir au mieux contre la volatilité des prix à court terme.

Par conséquent, pour éviter que l’investisseur n’achète un actif au “pire moment” (lors de la formation d’un sommet de marché), la stratégie du Dollar cost averaging l’amène à investir une même somme d’argent à intervalles réguliers, et ce, afin que son prix de revient moyen ne se situe pas sur un extrême, mais tout simplement dans la moyenne des cours de l’actif.

Que le support d’investissement choisi soit un contrat d’assurance-vie, un Plan d’épargne en actions (PEA), un compte de Trading ou un compte adossé aux métaux précieux, l’investissement programmé implique :

  • lorsque les cours augmentent, d’acheter en moindre quantité pour un même montant ;
  • lorsque les cours baissent, d’acheter en quantité plus importante pour un même montant.

Par conséquent, lorsque les cours augmentent progressivement sur le long terme, que les points hauts se font de plus en plus hauts, et que les points bas se font de moins en moins bas, l’investisseur adepte du DCA profite pleinement de la tendance haussière de fond. 

Contrairement aux investisseurs entrés accidentellement sur un point haut qui devront attendre que le marché marque de nouveaux records pour dégager de la performance, l’investisseur ayant lissé ses achats grâce au DCA verra son investissement total progresser en moyenne au rythme du marché.

Exemple de DCA sur l’or

Supposons qu’un investisseur particulier mette en place un virement automatisé de 100€ chaque mois vers son compte personnel VeraCash® au début de l’année.

Comme tous les actifs, l’or voit sa valeur fluctuer dans le temps. Supposons donc que l’once d’or vaille 1517€ à la fin janvier, puis 1431€ fin février, puis 1438€ fin mars, puis 1471€ fin avril.

Parce que l’investisseur achète systématiquement pour 100 € du précieux métal jaune tous les mois, mais que le prix de l’once d’or varie, son investissement mensuel ne lui permet pas chaque mois d’acheter la même quantité d’or. Il aura donc acheté 100€ / 1517€ = 0,06592 once fin janvier, 0,06988 fin février, 0,06954 fin mars, et 0,06798 fin avril.

Au terme de 4 mois d’investissement programmé, les 400€ investis au fil du temps lui auront donc permis d’accumuler 0,2733 once d’or au prix moyen de 1463,47€ l’once ; soit un placement plus intéressant qu’un achat unique dès fin janvier, mais aussi et surtout bien moins volatil.

Taux actuariels bruts annuels livret A, Assurance vie et Or sur 10 et 20 ans

Taux actuariels bruts annuels sur 10 et 20 ans (extrait)

Source : « Quels sont les véritables rendements de l’or ?« , Nicolas Delourme, Editions Jean de Portal.

Exemple de DCA sur le Bitcoin 

Prenons maintenant l’exemple du Bitcoin, et supposons qu’un “holder” ait décidé d’accumuler du BTC en suivant une stratégie de Dollar Cost Averaging mensuelle depuis le février 2021 en achetant ici aussi pour 100€ à la fin de chaque mois.

Sachant que le Bitcoin valait 41 222€ fin février, 49 890€ fin mars, 48 018€ fin avril et 30 033€ fin mai, notre investisseur aura acheté grâce à ses 100€ mensuels : 0,0024 BTC fin février, 0,0020 BTC fin mars, 0,0021 BTC fin avril, et 0,0033 BTC fin mai.

Au terme de 4 mois, les 400€ investis dans sa stratégie DCA lui auront donc permis d’accumuler un total de 0,0098 BTC pour un prix moyen de 40 816€, soit un placement certes moins attractif que le cours du Bitcoin à la fin du mois d’avril, mais aussi et surtout bien moins volatil qu’un achat unique réalisé fin février.

L’investisseur pourra ainsi poursuivre sa stratégie au fil des mois en espérant une tendance de fond haussière capable de lui offrir un rendement positif sur le long terme, et ce, avec une meilleure résistance au “FUD” (Fear, Uncertainty and Doubt) souvent nuisible sur le marché très cryptomonnaies.

Formule de calcul

Dans le cadre d’une stratégie de Dollar cost averaging, deux paramètres principaux sont à prendre en compte :

  • la somme systématiquement investie ;
  • le délai respecté entre deux investissements.

Lorsque ces données sont connues, la formule de calcul du retour sur investissement d’un investissement programmé est alors la suivante :

Formule Dollar Cost Averaging DCA

Les avantages de l’investissement programmé

Plusieurs raisons expliquent aujourd’hui le succès grandissant de l’investissement programmé sur le marché des actions, le marché de l’or et le marché des cryptomonnaies.

Adapté aux débutants

Parce qu’il ne nécessite pas d’investir des sommes importantes dès le départ, l’investissement programmé permet aux particuliers de se lancer avec un capital modeste (quelques dizaines d’euros suffisent) et d’acquérir progressivement de l’expérience en matière de placement.

En démarrant cette routine d’investissement au plus tôt, tout investisseur peut ainsi se constituer petit à petit un patrimoine et le voir progresser au fil du temps !

Extrêmement simple à mettre en place, une stratégie d’investissement programmé n’implique pas de produits financiers complexes ni de signaux techniques alambiqués. Elle permet donc à tout un chacun de gérer lui-même son capital et de comprendre ses investissements sans connaissance financière particulière.

Moins risqué

Les achats périodiques par sommes fixes propres à la stratégie de Dollar cost averaging permettent de limiter l’impact de la volatilité des prix et conviennent donc tout particulièrement aux profils averses au risque.

À ne pas confondre avec les stratégies consistant uniquement à “moyenner à la baisse”, l’investissement programmé limite le risque de surexposition à un marché donné en permettant à l’investisseur de définir lui-même la somme fixe à placer régulièrement en fonction de son profil.

Enfin, la stratégie de DCA permet également à l’investisseur d’éviter les dangers de l’effet de levier (une capacité d’investissement à crédit utilisée dans le cadre de nombreuses stratégies plus risquées).

Moins chronophage

Inutile de passer ses journées derrière son écran à suivre l’évolution des cours ni même à analyser l’actualité du marché, grâce aux virements automatisés (vers votre IBAN personnel VeraCash® par exemple), la stratégie de DCA permet de mettre de l’argent de côté régulièrement en ne consacrant que quelques minutes à la mise en place de son plan d’investissement.

Idéal pour le long terme ET liquide

Pour de nombreuses raisons, prédire l’évolution des cours sur les marchés financiers est extrêmement complexe, voire totalement impossible. En optant pour un investissement programmé via des virements automatisés, l’investisseur particulier s’évite d’avoir à anticiper la hausse ou la baisse des prix, ou encore à déterminer le « moment idéal » pour investir.

En choisissant des marchés dont les prix sont structurellement haussiers (notamment en raison de la perte de valeur programmée de la monnaie), l’investisseur peut profiter pleinement du potentiel de la stratégie DCA en évitant les désagréments et risques propres au “market-timing” (stratégie consistant à faire de multiples opérations d’achat-vente dans le but d’exploiter quelques mouvements de court terme).

Parce qu’elle permet de maximiser le temps passé en position dans le marché, la stratégie de DCA est idéale pour les investissements de long terme et permet de profiter pleinement du pouvoir de capitalisation des intérêts (les premiers intérêts perçus étant à leur tour source d’intérêt, etc.).

Enfin, contrairement aux investissements de long terme bloqués, un investissement réalisé à partir de la méthode DCA reste totalement liquide et mobilisable à tout instant pour faire face aux besoins de liquidité de court terme.

Vous l’aurez compris, l’investissement programmé est une stratégie d’investissement de long terme, permettant de lisser les risques liés à la volatilité des marchés financiers. Particulièrement adaptée aux investisseurs et épargnants particuliers, elle permet de créer petit à petit une réserve de capital sans avoir à anticiper les fluctuations des cours du marché.


Communiqué Presse - Conversion de devises : gare aux frais cachés de change - 3 Conseils pour éviter les arnaques pendant les vacances d'été

Conversion de devises : gare aux frais cachés de change – 3 Conseils pour éviter les arnaques pendant les vacances d’été

Paris, le 21 juin 2021

Avec les restrictions qui s’assouplissent, le taux de vaccination qui augmente et la saison estivale qui s’approche, nous avons qu’une envie : prendre le large ! En voyageant en dehors de la zone euro, attention cependant aux frais cachés. Les taux de change et les frais supplémentaires peuvent nous réserver de mauvaises surprises. Nombreux sont ceux qui découvrent en rentrant des vacances des relevés bancaires avec des sommes retirées inattendues, laissant un goût amer. Trois astuces pour éviter des notes salées afin de profiter pleinement des séjours hors zone euro en toute sérénité.

1. Vérifier la grille tarifaire pour le change

Quel est le montant de commission pour chaque transaction, pour les retraits d’espèces dans le pays de destination et quels sont les accords entre deux pays pour les règlements par carte ? Selon l’accord signé, il peut y avoir des différences importantes et il vaut mieux y être préparé et ajuster sa tactique. Et attention, même si l’organisme émetteur de la carte n’applique pas de frais, le distributeur de la banque où vous retirez peut les appliquer !

2. Attention aux taux de conversion

Même si les institutions financières offrent des transactions gratuites, le taux de change sur place peut s’avérer très désavantageux. Ainsi les spreads, c’est-à-dire les écarts qui existent entre les taux, permettent en réalité à la banque de faire de la marge sur les achats et les ventes de devises.

3. Opter pour un compte en ligne et une carte de paiement spécifique

De nombreuses néo-banques séduisent avec des offres alléchantes depuis quelques années : une carte et un compte en ligne gratuits. En plus de la gratuité des frais sur les devises, on ne dépense pas plus que le montant versé sur son compte alternatif. Attention pourtant de bien choisir !

« J’utilisais une carte de paiement et un compte en ligne gratuits, idéal pour les paiements en France et à l’étranger. Afin de pouvoir offrir tout à zéro frais, la fintech se finançait avec des levées de fonds consécutives, mais le business model a fini par craquer. Après quelque temps, le service est devenu payant et je suis parti, comme beaucoup de clients…. Heureusement que je me suis retiré à temps, car c’était une coquille vide. »
Arnaud, infographiste freelance 45 ans.

Un business model tout gratuit ne peut pas exister sur la longue durée. Une carte de débit et un compte en ligne basés sur des actifs solides sont les meilleurs moyens pour voyager l’esprit tranquille et sans mauvaises surprises en reposant ses valises au retour.

Pour toute demande d’interview merci de contacter :
Carla van Benschop – 01 73 01 45 52 / 07 69 30 75 07 –
[email protected]


[Avis d'expert] La Chine tacle les cryptomonnaies pour protéger sa monnaie digitale. Quels sont les vrais enjeux stratégiques ?

La Chine tacle les cryptomonnaies pour protéger sa monnaie digitale. Quels sont les vrais enjeux stratégiques ?

Paris, le 25 mai 2021

La Chine annonce vouloir prendre ses distances avec le bitcoin et les autres cryptomonnaies. Trois associations financières chinoises soutenues par l’État considèrent qu’il ne s’agit pas de vraies devises et imposent aux institutions financières de rester à l’écart de toute activité liée aux cryptomonnaies. Pendant ce temps-là, l’E-Yuan commence à s’imposer et les dirigeants chinois comptent bien généraliser son utilisation dès 2022.

  • Quels sont les enjeux stratégiques des cryptomonnaies ?
  • Combien de temps faudra-t-il pour voir l’E-Yan s’imposer sur les plateformes d’exchanges ?
  • La monnaie digitale, E-Yuan, jouera-t-elle le même rôle que le dollar américain pendant les 100 dernières années ?
  • Quel impact pour les stablecoins adossés au dollar ?
  • Quelles sont les alternatives ?

Jean-François Faure, expert en monnaies, fondateur et dirigeant de VeraCash, analyse les enjeux stratégiques de l’E-Yuan et d’autres (crypto)monnaies.

Pour toute demande d’interview merci de contacter :

Carla van Benschop – 01 73 01 45 52 / 07 69 30 75 07 – [email protected]

Maja Tailleux – 01 44 94 95 65 – [email protected]


Illustration braquage de banque

5 braquages de métaux précieux marquants et insolites

Le vol de métaux précieux sous forme de lingots, de pièces ou de bijoux a souvent donné lieu à des braquages spectaculaires, si bien qu’il a été difficile de choisir lesquels vous raconter. Qu’ils soient mystérieux, audacieux, insolites, célèbres ou anonymes, voici quelques-uns des plus grands vols d’or de l’Histoire… et quelques conseils pour éviter que cela ne vous arrive à votre tour.

Le grand vol d’or de 1855

Il s’agissait peut-être du « casse du siècle » à l’époque. En 1855, trois banques (Abell and Co, Spielmann et Bult) font transiter des coffres remplis de lingots et de pièces d’or vers Paris dans la nuit du 15 au 16 mai.

Première étape : Londres – Folkestone par un train de la South Eastern Railway (SER), avant de rejoindre la France par bateau. Toutes les précautions avaient été prises pour renforcer la sécurité des coffres, dont les poids furent vérifiés à chaque halte. Mais surprise à l’arrivée à Boulogne : le coffre d’Abell and Co est plus léger qu’au départ de Londres, et ceux de Spielmann et Bult sont plus lourds. En effet, le contenu n’était plus le même qu’au départ !  Une partie des pièces et des lingots avait été remplacée par du plomb dans chaque coffre, mais les voleurs n’en avaient pas prévu assez pour obtenir exactement les mêmes poids. Leur butin s’est tout de même élevé à 91 kilos d’or, soit plus de 2 milliards de livres pour l’époque.

Le gang fut démantelé plus d’un an après les faits, suite à l’arrestation des quatre malfrats (dont deux employés de la SER). L’or avait bien sûr été fondu entretemps. Comme bien des braquages, celui-ci a inspiré plusieurs œuvres : le roman de Michael Crichton Un train d’or pour la Crimée (1975) et le film qui en est tiré, La Grande Attaque du train d’or (1979) avec Sean Connery.

Route du SER, du London Bridge à Folkestone
Route du SER, du London Bridge à Folkestone

Le mystère du hold-up de Genève 

En janvier 1956, un chauffeur garait sa camionnette place Cornavin à Genève, devant les locaux de son entreprise de transport, en laissant les clés de contact à l’intérieur, comptant sur la bienséance suisse. Mais combien de fois faudra-t-il rappeler qu’on ne laisse jamais un véhicule et son chargement sans surveillance ? Celui-ci, qui transporte 250 kilos d’or répartis dans des caisses, s’est volatilisé en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Il est retrouvé tout près d’Annemasse en Haute-Savoie… vide, évidemment. L’enquête a pataugé, suivi des fausses pistes et s’est même embourbée en Angleterre. Deux suspects ont finalement été arrêtés : un Français et un Suisse, ce qui donne lieu à une scène d’interrogatoire surréaliste, à base de table de jardin et de ligne tracée à la craie pour matérialiser la frontière. Tout ça pour rien. En 1962, en l’absence de preuves et de résultats, le dossier est clos. Les coupables et l’or n’ont jamais été retrouvés, et coulent sans doute des jours heureux dans un monde parallèle.

Le gang voleur de lingots d’or et de safran

Le scénario aurait pu être banal. En 2009, six personnes appartenant à la même famille ont été arrêtées, soupçonnées d’avoir dérobé 70 lingots d’or à un couple de retraités pour un montant avoisinant les 1,8 millions d’euros. Les lingots en question étaient enterrés au fond de leur jardin en région parisienne, avec une trentaine d’autres non emportés par les voleurs (inutile d’essayer de les retrouver, ils n’avaient pas été déclarés et ont été saisis par l’État depuis). L’histoire ne s’arrête pas là : c’est un proche du couple, détenteur d’une société de négoce de métaux précieux, qui aurait renseigné les malfrats. Et selon les enquêteurs, le même gang se serait emparé de 1350 pièces d’or dans une salle des ventes un peu plus tôt dans l’année, et aurait aussi tenté de cambrioler une… usine de safran en 2008. 

Le vol d’or de World of Warcraft en Australie

Quel est le rapport entre un jeu vidéo et les lingots d’or ? Réponse : le « farming ». Cette pratique qui consiste à répéter certaines missions d’un jeu pour engranger des objets, de la monnaie virtuelle puis de l’argent réel est rarement bien vue par les communautés de joueurs, voire carrément interdite par les éditeurs. Mais en Australie, elle demeure autorisée à partir du moment où les revenus sont déclarés. Une adepte du célèbre jeu en ligne World of Warcraft aurait néanmoins dû s’abstenir de conserver ses gains à domicile (et de faire confiance à son petit-ami). En 2013, Katrina Fincham empoche 75 000 dollars, les convertit en lingots d’or et les stocke chez elle dans un coffre-fort. Oui mais voilà : les lingots sont dérobés lors d’un cambriolage en son absence. Outre les accusations de fraude à l’assurance dont elle fait l’objet, Katrina Fincham apprend que ce n’est autre que son conjoint qui a engagé les cambrioleurs. Classe.

illustration World of Warcraft
Pièces d'or dans le jeu World of Warcraft
illustration braquage
Reconstitution de la sequestration de Kim Kardashian - Source : LCI

Les bijoux de la Kardashian

Selon une citation que l’on attribue à Audrey Hepburn, « Paris is always a good idea ». « Sauf quand on voyage avec plusieurs millions d’euros de bijoux et que l’on s’expose sur les réseaux sociaux à longueur de journée » aurait pu ajouter Kim Kardashian, qui se souviendra de son séjour d’octobre 2016. De passage pour assister à la Fashion Week parisienne, la vedette américaine de téléréalité est victime d’un cambriolage dans sa suite d’hôtel. Un braquage spectaculaire et une expérience quelque peu traumatisante pour Kim Kardashian qui se fait ligoter, bâillonner et séquestrer dans la salle de bain par deux des cinq malfaiteurs. Valeur du magot ? Plus de 9 millions d’euros en bijoux en or et en diamants, soit l’un des braquages de star les plus remarquables de ces dernières années en France. Et ce n’est pas tout : l’un des voleurs a immortalisé l’événement dans un livre sorti en 2021.

Comment conserver son or en toute sécurité ?

Chacun à leur manière, ces braquages nous rappellent que l’or attire les convoitises et que toutes les précautions doivent être prises pour conserver des métaux précieux en toute sécurité. Alors, comment procéder ? Stocker son or chez soi n’est pas une si mauvaise idée, à condition de le placer dans un coffre sécurisé et assuré, d’éviter les lieux évidents, de s’équiper d’un bon système d’alarme, et d’avoir une personne de confiance à qui confier le code de son coffre en cas de décès. Et aussi : on évite de le crier sur tous les toits, de tout emporter en voyage ou de les exhiber sur les réseaux sociaux en activant la localisation, hein Kim ?

Il existe d’autres solutions encore plus sûres  pour mettre son or à l’abri ailleurs que chez soi. Parce qu’à moins d’utiliser des pièces comme réveil matin à l’instar de Don Salluste dans La Folie des Grandeurs, ou de vous baigner dedans comme l’Oncle Picsou, vous n’en avez pas forcément besoin à la maison. Le coffre bancaire est l’une des options : en votre nom propre, ou par le biais d’une société spécialisée qui stocke l’or en banque dans des coffres mutualisés et assurés sur leur valeur. Ou encore mieux, aux Ports-Francs de Genève comme VeraCash avec une sécurité renforcée. 

À l’origine, les Ports-Francs de Genève étaient dédiés au stockage de marchandises (alcool, tabac, denrées alimentaires) avant l’exportation. Aujourd’hui, ils renferment surtout des objets de grande valeur : des métaux précieux bien sûr, des œuvres d’art, des montres, des grands crus, etc. Ils sont par conséquent protégés par des dispositifs de sécurité optimaux (serrures inviolables, portes blindées, constructions antisismiques notamment). Des audits et inventaires y sont régulièrement réalisés, de même que des contrôles à l’entrée et à la sortie. C’est pour cela que VeraCash a choisi cette solution. D’autant que celle-ci permet aussi de placer les métaux précieux de ses membres à l’abri du risque de faillite bancaire, grâce à la neutralité politique et économique suisse.

Le bonus insolite de bon goût

Si malgré tout vous vous demandez encore quelle est la meilleure solution pour conserver votre or, permettez-nous encore un dernier conseil : n’utilisez pas votre anatomie. Ne faites pas comme cet homme qui, pour subtiliser 7 kilos d’or l’entreprise d’affinage d’or qui l’employait, plaçait son butin – par petites quantités certes – dans son rectum.


Longue file d'attente

Bank run : faut-il craindre une vague de panique bancaire ?

Il est une nouvelle vague dont on parle un peu moins souvent en ce moment : celle de la panique bancaire, ou la ruée bancaire. C’est pourtant un risque directement corrélé à la perte de confiance envers une banque commerciale, ou à plus grande échelle envers le système bancaire classique. Quelles seraient les conséquences d’un « bank run » ? Et qu’est-ce que cela implique pour les titulaires d’un compte VeraCash ? Explications.

Qu’est-ce qu’un bank run et quelles sont ses conséquences ?

On se souvient tous de ces images de files d’attente en Grèce en 2015. Sortie du nouvel iPhone ? Loin de là. En pleine crise de la dette, les Grecs s’étaient alors rués vers les guichets des banques pour récupérer leurs avoirs.

bank run - file d'attente devant les distributeurs de billets
Athènes, Grèce - 1er juillet 2015 : Les files d'attente se multiplient devant les distributeurs automatiques de billets.

Quand certains ne retirent qu’un peu de liquide craignant une fermeture des distributeurs, d’autres ponctionnent toute leur épargne pour la mettre ailleurs. Plusieurs milliards d’euros pouvaient alors sortir du circuit bancaire en seulement quelques jours (L’Express, juin 2015). C’est ça, un bank run : un mouvement de panique pour tenter de sauver ses économies d’une possible insolvabilité des banques. Parce que oui, dans certaines situations désespérées, les banques peuvent se servir sur les comptes des épargnants pour éponger leurs dettes. Un précédent avait eu lieu à Chypre en 2013, donnant naissance à l’expression de « chypriotisation » des comptes bancaires.

Depuis une dizaine d’années, on assimile aussi l’idée de bank run à Éric Cantona. L’ancien footballeur avait alors multiplié les appels du pied pour que les citoyens se rendent en masse dans les banques le 7 décembre 2010 pour récupérer leur argent. L’objectif était simple mais ambitieux, puisqu’il s’agissait de créer un écroulement du système bancaire. Et… spoiler : ça a fait « pshiiit ». Malgré la mobilisation virtuelle de centaines de milliers de personnes sur Facebook, le bank run n’a pas eu lieu. Canto lui-même ne se serait cantonné qu’à un retrait symbolique ce jour-là.

Les conséquences de la panique bancaire

Le dicton « la peur n’évite pas le danger » est particulièrement vrai dans une situation de bank run. Lorsque le mouvement se produit vraiment, il provoque une faillite des banques. C’est ce qu’évoque le youtubeur Pierre Ollier dans une vidéo sur le bank run : « les gens ont peur pour la santé financière de leur banque, ou ont peur du comportement que pourraient avoir les autres utilisateurs. Et ils se ruent vers les distributeurs, ce qui entraîne une faillite de la banque ». Ces décisions émotionnelles, prises sous le coup de « la peur de perdre son argent », peuvent avoir un impact majeur. C’est ce qui s’est produit en 2007 en Angleterre, avec le « bank run ».

Une bonne illustration est celle de la panique bancaire de 2007 en Angleterre avec la Northern Rock. Après avoir demandé un prêt d’urgence à la Banque d’Angleterre, l’établissement a subi « une fuite massive de clients » (Les Echos, septembre 2007). Conséquence : des particuliers paniqués, qui attendent en file sur le trottoir pour retirer leurs avoirs, et un établissement qui a ensuite été nationalisé. Il est d’ailleurs intéressant de noter que ce bank run est un résultat direct de la crise des subprimes aux Etats-Unis : la Northern Rock était alors la 5e banque du financement immobilier britannique.

Un nouveau bank run est-il possible ?

Dans notre système économique actuel, beaucoup ont tendance à penser qu’un bank run ne serait pas envisageable. C’est une situation qui suppose une crise de confiance importante envers les banques. Or, elles ont le soutien des Banques centrales, et des autorités qui font le nécessaire pour que les particuliers conservent ce capital confiance (et même leur capital tout court !) envers les banques. Cette situation s’est déjà vue en 2008 d’ailleurs. « Les ministres des Finances de la zone euro ont réaffirmé que l’union européenne prendrait toutes les mesures nécessaires à la stabilité des marchés financiers et au soutien des banques », détaillait ainsi Capital.fr dans un article en 2008

Pourtant, il faut aussi replacer les choses dans leur contexte. La crise des subprimes, en 2008, était un exemple du risque systémique que fait peser la finance de l’ombre, ou shadowbanking, sur le système bancaire mondial. Or, depuis 2008, on ne peut pas dire que la situation se soit vraiment arrangée. Même si certaines banques ont montré les systèmes de contrôle mis en place, aucun établissement n’est à l’abri, et aucun n’est « too big to fail ».  De nombreux observateurs ont les yeux tournés vers les banques systémiques européennes, notamment la Deutsche Bank qui a vraiment souffert de la crise des subprimes. Une fragilité mise en scène dans la série « Bad Banks ». Certes, en cas de crise, les autorités font le nécessaire pour préserver le capital confiance… mais jusqu’où ? Et peut-on « faire le nécessaire » avec les avoirs des particuliers ? 

Que se passerait-il en cas de bank run ? Pas de panique pour vos métaux précieux

Prenons un scénario catastrophe, digne d’un effondrement du système sur fond de crise sanitaire par exemple. Chacun cherche à retirer ses avoirs de sa banque, aussi bien pour assurer le quotidien que pour mettre son argent à l’abri. L’État peut alors décider de plafonner – voire de geler – les retraits, de limiter les virements de compte à compte et les virements vers l’étranger. Pour aller encore plus loin, il peut ponctionner l’épargne des particuliers. 

Pour autant, pas de panique pour les métaux précieux achetés depuis votre compte VeraCash. Même si le système bancaire est bloqué et que les retraits en espèces sont impossibles, vous pouvez toujours continuer à utiliser votre compte VeraCash pour des virements de particulier à particulier, ou de particulier à entreprise (et vice-versa). Le modèle de VeraCash repose entièrement sur du physique et nous permet de gérer des opérations sans utiliser la carte de paiement. Ainsi, vos métaux précieux pourraient toujours être utilisés comme moyen de paiement, grâce à la fonctionnalité d’envois d’actifs. Mieux encore, ils resteraient accessibles sur votre compte : ils sont stockés en zone franche aux Ports Francs de Genève, en Suisse et l’État français n’a pas la possibilité de les confisquer pour rembourser une quelconque dette. Aussi, vous aurez toujours la possibilité de conserver vos métaux précieux en attendant, ou bien de retirer vos VRC n’importe où sur le globe, sans frais.